À 120 ans, celle qui serait la doyenne de l’humanité n’a pas l’énergie nécessaire pour parcourir les couloirs débouchant sur le 11e étage de local Transat. Arrivée en fauteuil roulant, elle apparaît lucide et très enjouée à l’ouverture de l’ascenseur. La cinquantaine de membres de sa famille et de la communauté haïtienne de Montréal se laissent séduire par la joie de vivre de celle qui serait la doyenne de l’humanité. L’esprit vif, elle laisse déborder cette joie de vivre. Son éclat de rire est contagieux. « C’est spécial. Avec les maladies qui
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