Rares sont les audiences au palais de justice de Port-au-Prince à rassembler autant de curieux. A mobiliser autant d’agents d’unités spécialisées de la police nationale. A provoquer autant de bousculades pour avoir accès à la salle où se déroule le procès. Pour voir le détenu le plus médiatisé ces trois dernières années, il faut être patient et courageux. Le couloir conduisant à la porte principale de la première chambre civile est bondé. L’assistance (déjà en grand nombre) venait d’être priée de vider la salle, le temps d’amener les prévenus e
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