Jean Herby Lafaille, un nom tombé aux oubliettes depuis l'année 2009 où il a signé "Sans rancune", un long-métrage quelques années après "Le destin de Caroline", son plus grand succès. Le cinéaste, avec sincérité, nous explique que c'est un 8 à 4 au bureau des Nations Unies qui en est la cause. Au début, selon les clauses du contrat de travail, il ne devait pas signer quoi que ce soit étranger à l'institution planétaire. Aujourd'hui promu à un niveau supérieur, il avoue être affranchi de fait de cette contrainte. Le réalisateur évolue au sein d
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