Roland Léonard
Existe-il vraiment un langage naïf et innocent, de premier degré, non équivoque- d’isotopie simple, unique, comme on dit en linguistique- dans le roman, la poésie et au théâtre ?
Nous en doutons fort ; tout est figure, métaphore et symbole ; tout est double et somme de connotations. Cette vérité passe du mot à la phrase, au paragraphe et de celui-ci au texte tout entier. « À la croisée des îles» de Paula Clermont Péan le prouve à nouveau.
La dramaturge et metteuse en scène s’est inspirée de la pièce d’un auteur anglais, Will
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