Ce long poème est une offrande. Il est, comme dit en prologue, une alliance scellée entre l’exil et la folie. Il est aussi une voix de femme. Un corps errant sur le sable blanc, absolument libre ! « Je suis la fille du Baobab brûlé » résonne comme un cri de résistance. De survivance. Le poème est très rythmé. Chaque page a son souffle, son mot à dire.
« … Je suis la fille du Baobab brûlé
Je suis la reine des maisons closes
J’habite les vents mauvais
J’ai des colombes et des étoiles
Sous ma robe bleue fleurie»
Le poète prête sa voix à la fem
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