Ginette Chérubin
Le désenchantement avait suivi le jour d’allégresses du 25 octobre.
Dès le lendemain, une avalanche d’accusations s’était mise à pleuvoir sur le CEP et le personnel mobilisé pour la réalisation du scrutin. Depuis, j’essaie de comprendre ce qui a bien pu se passer. Difficile de trouver la clé de l’énigme en dépit d’une certaine connaissance acquise du système électoral suite à la suite de mon passage au CEP et à mes réflexions exposées dans « Le ventre pourri de la bête ».
Toutefois, au regard des argumentations brandies, de
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