Emmanuel Vilsaint entre de plein fouet dans la réalité de la prostitution masculine et du travestissement, par les coulisses d’une pièce de théâtre en forme de journal.
Le rideau s’ouvre sur un homme devant son miroir, maquillé et vêtu en fille, prêt à rejoindre son « lieu de travail ». On ne peut s’empêcher d’emblée de penser à l’histoire du théâtre, qui constitue en soi un historique du travestissement, où les rôles féminins ont été de longue mémoire tenus par des hommes, en Occident jusqu’à la Renaissance et Shakespeare, dans le no et le k
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