Antonal Mortimé quitte la POHDH, avec quelques regrets et l’engagement de continuer

Après sept ans au sein de la Plateforme des organisations haïtiennes de défense des droits humains (POHDH), Antonal Mortimé claque la porte. Dès le lundi 26 octobre, il ne fera plus partie de l’institution qu’il a quittée, dit-il, « pour plusieurs raisons ».

Karenine Francesca Theosmy
Par Karenine Francesca Theosmy
23 oct. 2015 | Lecture : 2 min.
Coupe de cheveux et tenue toujours soignées. Barbe à la Karl Marx. Timbre posé. Antonal Mortimé était depuis plusieurs années la figure médiatique de la POHDH qui regroupe les sept organisations de droits humains les plus emblématiques en Haïti. C’est fini. Il a démissionné le 18 septembre. Son départ à la tête du secrétariat éxecutif est inspiré par des désaccords mais surtout par l’ « absence d’homogénéité dans les décisions et la méthode de travail » de la POHDH. « Durant ces années, je me suis battu pour un format standard de nos rapports

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