En analysant les différents conseils électoraux qui se sont succédé pendant ces quinze dernières années, on s’accorde à dire qu’ils se suivent mais ne se ressemblent pas. En 2005, les déchirements internes avaient causé des torts au fonctionnement du Conseil. En 2010, Gaillot s’était surtout fait remarquer à la tête du CEP pour sa cupidité. Le Conseil électoral de cette année s’est signalé par une série de décisions précipitées et maladroites. L’institution électorale, par décision prise en Conseil, a écarté de la course électorale trois candi