Les séquelles de la dictature demeurent encore dans la vie politique et sociale du pays, constate le professeur à l’Université d’Etat d’Haïti (Ueh), Roger Petit-Frère, à l’occasion du 24e anniversaire du coup d’Etat du 30 septembre 1991.
Ce coup d’Etat a eu des conséquences politiques, économiques et sociales, qui ont provoqué la destruction du mouvement des masses et la destruction même de l’État, souligne Petit-Frère, lors d’une conférence-débats, le vendredi 25 septembre 2015 (dans le cadre des vendredis de la Plateforme des organisations