Loin de la terre natale – donc de la terre d’accueil –, mon frère aîné Yves Boyer me fait parvenir son appréciation. Déjà, le mercredi 2 septembre, je l’avais trouvé enthousiaste et effusif au bout du fil. Le lendemain, à la réception de son «mail», je réalisai que le titre «Encouragements à l’économiste Jean-Claude Boyer» avait mué en un titre rassembleur et saisissant «L’histoire de la pensée économique et de la crise monétaire haïtienne». Ayant hésisté à déroger à une règle que je me suis toujours imposée – celle de ne pas mélanger démarche
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous