La poésie n’est pas toujours passe-temps comme ils sont nombreux à le croire. Encore moins évasion ou folie aberrante. Certaines fois, on (le poète) est, sans nul doute, contraint de donner libre cours à son instinct de découverte sans pourtant revendiquer une liberté, surtout celle d’imaginer des mondes ou de recréer des marges de pensées. Les lecteurs, petits ou grands, s’accrochent souvent à croire que le poète doit toujours se réveiller pour salir ou auréoler une page. Et si le poète est plutôt cet être toujours en éveil, on comprendra que
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