Après la débâcle du Conseil électoral provisoire le 28 novembre 2010, lors des élections législatives et présidentielle, sous la conduite de Gaillot Dorsinvil, les observateurs croyaient que le temps des scandales à répétition dans la conduite des opérations électorales touchait à sa fin en Haïti. Le scrutin du 9 août 2015, le premier sous la présidence de Michel Martelly, vient de démontrer que l’institution électorale n’avait pas encore maîtrisé les mécanismes de gestion pour assurer la réussite de cette journée électorale. Au lieu de mettre
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