Dieulermesson PETIT FRERE
Port-au-Prince, 9h35 a.m. Le soleil étend ses rayons sur ce matin sombre de premier vendredi d'août. La chaleur est suffocante. L'air est lourd. Le centre-ville grouille déjà de monde. Marchands ambulants, petits détaillants, les annonciateurs de la bonne nouvelle du salut qui vous décrivent un paradis taillé à la dimension de leurs rêves fous, le klaxon des tap-tap et des motards, tout cela crée une véritable cacophonie. Il est si difficile de circuler dans ce fourmillement par ces temps d'élections. À l'angle des ru
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