A partir d’une affirmation hégélienne

J’ouvre le livre «Introduction à une esthétique de la littérature / L’écrivain et son ombre» de Gaëtan Picon, nrf, Gallimard, 1953.

J’ouvre le livre «Introduction à une esthétique de la littérature / L’écrivain et son ombre» de Gaëtan Picon, nrf, Gallimard, 1953. En page de garde, une pensée de Hegel : «Ce qui se sait est bien supérieur à ce qui ne se sait pas.» Tout en nuance. Aussitôt j’ai repensé à une anecdote que me rapportait dans le temps un ami. Quelqu’un donnait la réplique suivante : «Vous me parlez de choses que vous avez lues dans les livres, alors que, moi, je vous entretiens de ce que je connais.» Sauf que les connaissances acquises (et accumulées) à partir du

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