Depuis le début des rapatriements volontaires ou provoqués, au lendemain de la fin du Plan national de régularisation des étrangers (PNRE), les violons ne s’accordent pas à l’intérieur de l’administration Martelly-Paul. Si certains, le Premier ministre Evans Paul en tête, crient au scandale et parlent de crise humanitaire, d’autres comme le président Martelly ne voient rien de grave dans ce qui se passe. Comme s’il ne se passait rien entre Haïti et la République dominicaine. Les contradictions, les différences de langage au sein du gouvernement
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