Selon l’enquête de ProPublica et de NPR, quatre ans plus tard, rien n'a été fait. Les résidents de Campêche [une localité dans la périphérie de Port-au-Prince que la Croix-Rouge voulait construire] vivent encore dans des baraques en tôle, sans eau potable, sans toilettes ni électricité. La seule preuve visible de la présence de la de la Croix-Rouge est un logo peint à la main sur un mur.
Jane Regan, journaliste américaine ayant dirigé une cellule de journalisme d’investigation qui enquêtait sur le processus de la reconstruction après le séisme
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