En regardant à la télévision la cérémonie d’intronisation de Dany Laferrière à l’Académie française jeudi, on a l’impression que les oiseaux ont cessé de chanter, que le vent a retenu son calme, que les vagues de la mer ne se soulevaient plus, que la terre de Dessalines faisait silence pour rendre hommage à ce digne fils de la cité de Faustin Soulouque. L’atmosphère, la tenue, le cérémonial qui caractérisent la splendeur de ce jour mémorable du 28 mai 2015 restera gravé dans l’imaginaire collectif haïtien.
Relatant sans ambages son unique
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