En regardant à la télévision la cérémonie d’intronisation de Dany Laferrière à l’Académie française jeudi, on a l’impression que les oiseaux ont cessé de chanter, que le vent a retenu son calme, que les vagues de la mer ne se soulevaient plus, que la terre de Dessalines faisait silence pour rendre hommage à ce digne fils de la cité de Faustin Soulouque.
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