C’est avant tout une envie d’écrire. Ecrire. Ce n’est surtout pas, admettons-le, ce qui se résume aux balivernes. Mais à l’écriture pure et simple. Si Josaphat Robert-Large (préfacier du livre) n’y détecte pas un romantisme lyrique en toile de fond, il est aussi à souligner que Jean Mino Paul qui garde en lui, comme un apanage, le sens erroné du devoir, ne saurait se passer de ce lyrisme qui n’est jamais en veilleuse dans ses publications. On se souvient de « le sang de l’oubli » qui transpire d’un romantisme cru. Du symbolisme aussi. Mais av
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