La guerre des cerfs-volants de Claude Bernard Sérant

Roland LéonardJe plains tous ceux qui, adultes ou jouant à le paraître, étouffent toute innocence, effacent toute trace de poésie, de fraîcheur et de verdeur morales, de féérie et de candeur enfantines chez eux.

Roland Léonard
Par Roland Léonard
01 juin 2015 | Lecture : 3 min.

Roland Léonard

Je plains tous ceux qui, adultes ou jouant à le paraître, étouffent toute innocence, effacent toute trace de poésie, de fraîcheur et de verdeur morales, de féérie et de candeur enfantines chez eux.

Ils ne savent pas, en vérité, la valeur de ce à quoi ils ont renoncé, de ce qu’ils ont perdu. Se blindant contre la férocité des uns, se méfiant de la trahison et des coups fourrés des autres, ils ont rejoint la bande des fauves. Ils ont élargi le cercle des adhérents au «chen manje chen», «Homo homini lupus», au «Timeo

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