« Longtemps, longtemps, longtemps
Après que les poètes ont disparu
Leurs chansons courent encore dans les rues
La foule les chante un peu distraite
En ignorant le nom de l'auteur
Sans savoir pour qui battait leur coeur
Parfois on change un mot, une phrase
Et quand on est à court d'idées
On fait la la la la la la...» Ces vers chantés par l’illustre Charles Trenet dans «L’âme des poètes» s’appliquent parfaitement à notre poète et parolier national Syto Cavé.
On ne peut imaginer la somme de succès, de tubes, dans la chanson haïtienne, don
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