Par Lord Edwin Byron
22 avril. La terrasse de l’Institut français en Haïti foisonne de couleurs. Un ensemble de 200 tableaux baptisés « Les miniatures de Frankétienne » y sont exposés. Frankétienne, l’énigmatique, a fière allure et reçoit gentiment ses admirateurs. Les regards partagés entre étonnement et motivation se croisent et s’entrecroisent. Intenses et mystérieuses, les peintures parlent, interpellent et reflètent le chaos. Ce chaos qui ne se définit pas comme étant le désordre des choses. C’est plutôt l’harmonie inhérente de l’univers
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous