Les festivités de rara sont célébrées au cours de la période pascale. Des milliers d’Haïtiens accordent une grande importance à ce rituel. Jean Marie Désiré, responsable des relations publiques de la «Fleur de rose », une bande de rara de Léogâne, explique que le phénomène du rara haïtien tire son origine de la période précolombienne, mais qu’il s’est développé davantage au cours de la période d’esclavagisme, notamment dans le cadre du marronnage. À l’époque, « c’était un rara sans tambour, ni bambou, mais qui avait une portée révolutionnaire»
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