Ralph Millet livre aux épris de musique brésilienne, aux aficionados habitués à se tremper dans le vaste univers des Luiz Bonfia ou Carlos Jobim, celui que l’histoire et la critique affectionnent le plus, un beau produit, qui ne devrait pas rester dans nos coffrets. « Gad jan sa bèl », sorti en décembre 2009, aurait-il été étouffé par Goudougoudou ? Serait-il jeté aux oubliettes, quoique mélodiquement avancé et techniquement soutenu ?
Complicité et sentiment d’entente
Ralph Millet, cœur épanché sur le manche de sa guitare, arpente la bossa-
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