L.N. : Comment voyez-vous les relations internationales d’Haïti de l’après-Duvalier ? Y a-t-il quelque chose qui a changé dans les rapports d’Haïti avec ses amis ?
W.W.A. : À la mort de Duvalier, les partenaires d’Haïti saluaient la mémoire du « vieux dictateur ». Il n’avait que 64 ans, donc pas si vieux que cela. Au cours de ces dix premières années de pouvoir, il imprégnait une certaine gouvernance qui mettait la région en danger face à une éventuelle révolution communiste tout en se présentant lui-même comme une barrière contre le communism
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