Diane Descôteaux est une poétesse atypique. Un dernier souffle de la poésie classique qui tente de se relever ou de survivre. Si vers la fin du XIXe siècle écrire un poème en prose ou en vers blanc était un acte de révolte, ou d’avant-garde, alors écrire un sonnet au début du XXIe siècle doit absolument en être un aussi. Poétesse d’amour, d’un bonheur fou, « qui frise la démence », Diane Descôteaux accorde une place particulière à la forme. Que ce soit dans des petits poèmes d’origine japonaise de trois vers, appelés haïku, ou des vers français
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