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Déjà neuf ans que le Festival international de jazz de Port-au-Prince (PAP Jazz) nous gâte avec une flopée d’artistes de haut calibre, de tous horizons. Qu’ils soient éprouvés au moule de grands ténors, qu’ils soient, dans un esprit libertaire, créatif et enjoué, condamnés à fabriquer une musique métissée, ils soumettent au jugement des amateurs, des critiques et musicologues une mosaïque de styles décloisonnés et entrecroisés. D’éditions timides à celles médiatisées et étoffées, les souvenirs collent encore à notre mémoire. Ce neuvième PAP Jazz, garant d’une profusion de rythmes, se veut d'être un symbole de brassage, quoiqu’à la merci du climat politique. Il unit harmonieusement toutes les tendances, il épouse tous les goûts. Le jazz débarque chez nous. Une semaine folle qui sera rythmée par des concerts live, des after-hours, des ateliers sur le jazz avec des artistes internationaux. Ce samedi 17 janvier, au Parc Historique de la Canne à Sucre, à Tabarre, trois artistes et groupes signent l’ouverture officielle.
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