PromArt, entre satisfaction et souci de mieux faire

Après trois éditions, l’atelier d’art international se veut un véritable étalon d’échanges culturels qui réunit chaque année des dizaines d’artistes haïtiens et étrangers. Si l’objectif a été dès le départ de promouvoir l’art haïtien et de favoriser le partage interculturel, il n’en demeure pas moins que l’initiative se heurte à des difficultés. Patrick Cauvin de PromArt répond aux questions du Nouvelliste.

Lord Edwin Byron
Par Lord Edwin Byron
09 avr. 2015 | Lecture : 4 min.
Le Nouvelliste (L.N.): En trois ans, l’atelier d’art international se fait une place dans le monde artistique. Parlez-nous un peu du parcours. Patrick Cauvin (P.C.) : L’idée de l’atelier d’art international en Haïti a germé en Roumanie où, en maintes fois, j’ai été invité à prendre part à des manifestations culturelles de ce genre. Encouragé par des amis peintres tels que Stefan Balog de Roumanie, Mountassir Chemao du Maroc, Lojze Kalinsek de Slovénie, et après en avoir parlé à des amis en Haïti, j’ai décidé d’organiser en 2012 le premier at

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