On entend souvent dire que les maux ont un langage en ce sens qu’ils expriment quelque chose, comme un conflit, un drame, un vécu que l’on tait. C’est en quelque sorte la transposition du psychique dans l’organique, Freud avait parlé de conversion ou de complaisance somatique. C’est ce qu’on appelle la somatisation qui est, dit Jacques Salomé, « un langage non verbal des plus essentiels pour les enfants ». Mais que l’on décèle souvent chez l’adolescent, voire chez l’adulte.
Au sens strict, le terme somatisation renvoie aux troubles psychos
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