L’adresse du président Martelly, vendredi soir, n’a pas suffi pour calmer les opposants qui multiplient les marches de protestation. Samedi matin, plusieurs milliers de personnes ont de nouveau gagné les rues de Port-au-Prince pour réclamer le départ du chef de l'État. « Nous voulons des actes concrets, nous savons bien que nous avons affaire avec un pouvoir «à l’oral», donc il nous faut du concret », a déclaré l’ancien sénateur Lavalas Louis Gérald Gilles, réagissant aux propos du chef de l’État se disant favorable aux conclusions du rapport
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