Michel, point focal de la coiffure
Avant Michel Chataigne, la coiffure au studio était un rituel réservé aux ¨gran fanm¨ de Pétion-Ville. Même si c’était en moyenne à 35 gourdes à l’époque, très peu de gens fréquentaient les ¨beauty parlor¨ menés par les Françaises, les Américaines ou Libanaises de la chic banlieue de la capitale. Le gros de la population se faisait lisser les cheveux chez la coiffeuse du quartier. Quelques intrépides s’abonnaient chez les Dominicaines de carrefour qui sont coiffeuses le jour stripteaseuse la nuit. L’histoire
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