Juchée à quelque 800 mètres d’altitude, l’Auberge du Mont St-Jean flirte avec les nuages ce samedi matin de novembre. Sur la terrasse arrière qui surplombe une falaise, deux clients prennent tranquillement le petit déjeuner, à l’ombre de grands pins et savourent comme un dessert une vue imprenable sur monts et vallées.
Les perspectives ne manquent pas ici. Sur la façade ouest de l’auberge, l’agronome Henrick Nicolas, guide d’un instant, habitué de cet environnement bucolique, pointe à l’horizon les ruines du fort Blockhaus pour quatre yeux é
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