Gressier est devenu, après le tremblement de terre de janvier 2010, le prolongement de Port-au-Prince. Depuis la catastrophe, les constructions n’arrêtent pas. Et les dégâts qu’elles causent sont lourds. Perchées sur les hauteurs, en face des plages, celles-ci inquiètent véritablement les propriétaires de ces espaces de loisirs qui déplorent l’absence manifeste de l’État dans un pays où les dirigeants scandent partout « Haïti is open for business ».
« Il y a un problème à poser, un problème qu’il faut résoudre.» Telle est la déclaration des
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