Une petite table et trois chaises installées sous des arbres au beau milieu des gravats à la rue de la Réunion, c’est dans ce décor, dans cette salle de conférence peu commode, que des expropriés du centre-ville ont reçu la presse, ce mercredi, pour faire passer leurs doléances. Ils sont une cinquantaine, majoritairement des femmes et une douzaine d’enfants qui ne savent pas encore si leur rentrée scolaire se fera le 15 septembre, le mois prochain ou l’année prochaine. Ils se présentent tous comme des propriétaires ou des locataires qui vivaie
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