Musique/Conférence

Pour la sauvegarde du patrimoine musical haïtien

En fin pédagogue, Karine Margron fustige, une pointe de tristesse dans le ton, l’invasion des nouveaux rythmes étrangers : pop, RnB, rap et reggae. Elle déplore la facilité trop flagrante qu’offre la technologie qui nous bombarde de musiques synthétiques. Elle propose, projection et exemples musicaux à l'appui, des outils aptes à préserver nos chansons dans leur originalité et leur authenticité.

Rosny Ladouceur
03 sept. 2014 — Lecture : 3 min.
Honorée de la présence de la ministre de la Culture, Monique Rocourt, de la chanteuse classique Jamie Cartright et d’Erol Josué, directeur du Bureau national d’Ethnologie, la chercheuse était en conférence, mercredi 27 août, à la Bibilotghèque nationale d'Haïti dans le cadre d'un partenariat avec l'Ecole nationale des arts (Enarts). Comment définit-elle le patrimoine ? « Creuset de la diversité culturelle dont la préservation est le garant de la créativité permanente de l’homme. » Cette définition, proposée par l’Unesco, prétexte sa mise en

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