Alors que les personnes déplacées protestaient contre un processus d’enregistrement de la population dans le camp Caradeux (au nord-est de la capitale), par l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), le 25 avril dernier, elles ont éssuyé des jets de gaz lacrymogène et de coups de matraque de la part des forces de l’ordre. En dépit de cet incident, presque chaque soir, des tirs nourris éclatent au camp Toto planté à Caradeux. Sous des tentes fabriquées avec de vieux draps, des morceaux de tissu, les réfugiés peinent à faire appel a
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