Evasion? C’est devenu une habitude, un fait divers, surtout ces dix dernières années. Le 1er janvier 2004, sous la présidence de Jean-Bertrand Aristide, à l'occasion des festivités du bicentenaire de l'Indépendance nationale, plusieurs centaines de détenus se sont mystérieusement évadés de la prison civile de Port-au-Prince, communément appelée pénitencier national. Un mois plus tard, après la chute d'Aristide, les portes du plus grand centre carcéral du pays sont à nouveau mystérieusement ouvertes, facilitant ainsi la fuite d'un grand nombre d
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