Leslie Péan
Les malades du syndrome de Stockholm
La lecture décapante de Joël Des Rosiers est-elle annonciatrice d’un monde nouveau qui s’édifie par-delà les populismes de droite et de gauche ou encore de leurs manipulations exhibitionnistes ordurières et criminelles ? Il faut l’espérer. Dans tous les cas, l’auteur apporte sa contribution avec un esprit de finesse mais aussi de géométrie.
L’imaginaire du pouvoir est commun aux dominants et aux dominés, une double appropriation qui explique l’indéfinie défaite des partisans du changement. Q
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