Jacques Schwarz-Bart

Frottements du jazz et de la musique racine

Jacques Schwarz-Bart, s’inspirant des chants vaudous et de la mystique qui s’en dégage, dit livrer dans son dernier album une œuvre moderne, tissée de lyrisme, de spiritualité et de sacré : « Jazz Racine Haïti », sorti cette année sous le label Motema (Harmonia Mundi, 2014).

Rosny Ladouceur
Par Rosny Ladouceur
05 août 2014 | Lecture : 4 min.
Après le « Sone Ka-la », «Rise above » (Dreyfus Jazz, avril 2010), « The art of dreaming » (Aztec Music, 2012), vient le temps pour « Brother Jacques » (de son surnom affectif) de mêler, dans ce dernier disque, le jazz à la musique vaudoue. De son humble avis, cette musique est d’une richesse infinie tant dans les rythmes, dans la variété des modes mélodiques des gammes que dans les structures des compositions. L’esprit de « Jazz Racine Haïti » Justement, dans les compositions, les supports des combinaisons instrumentales, le saxophoniste

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