Je peux comprendre qu’un praticien soit heureux, quand il ouvre la porte de son cabinet pour raccompagner un patient, de voir la salle d’attente bondée. J’en suis tout autant heureuse pour lui (ou elle) pour les mêmes raisons. Et j’ai dû attendre d’avoir grandi et de faire la remarque à l’un d’eux pour comprendre que ce n’est définitivement pas pour shèlbèr que les patients s’appellent effectivement patients.
Mais les choses évoluent, et la population ne diminue pas, les maladies et ennuis de santé non plus, bien au contraire. Et grâce au ci
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