En optant cette année pour «Les flammes de Paris», Lynn Williams Rouzier n’avait qu’une idée en tête: rompre avec cette habitude qu’elle a depuis des années d’adapter des ballets axés sur des légendes ou des contes comme "Cendrillon". «Je crois qu’il est important, dit-elle, de parler d’histoire aux jeunes car ils ont tendance à oublier ce qu’ils apprennent à l’école. En plus, l’histoire, qu’elle soit malheureuse ou pas, aide énormément à la construction de l’être, du citoyen...«En faisant choix de ce ballet russe, Lynna donc demandé aux danseu
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