Ras le bol !

En 2010, passé le premier choc, mes compatriotes les plus "savants" et les plus "progressistes", ceux qui ont visité de nombreux pays et connaissent le visage du progrès ont été d'accord sur un point, pour une fois dans leur vie: il fallait profiter de l'opportunité pour reconstruire une nouvelle ville.

Mildrède Béliard
Par Mildrède Béliard
27 juin 2014 | Lecture : 3 min.
En 2010, passé le premier choc, mes compatriotes les plus "savants" et les plus "progressistes", ceux qui ont visité de nombreux pays et connaissent le visage du progrès ont été d'accord sur un point, pour une fois dans leur vie: il fallait profiter de l'opportunité pour reconstruire une nouvelle ville. J'ai rencontré au moins trois "citoyens concernés" qui avaient conçu des projets de réaménagement du centre-ville de Port-au-Prince. J'ai donné mon avis, me suis enthousiasmée et puis, comme toujours dans mon pays adoré, on s'est trouvé mieux à

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