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« Sommes-nous jamais des êtres totalement exempts de folie ? Précisons. Sommes-nous capables sur vingt quatre heures de supporter la masse du réel sans boire de temps en temps une gorgée de déraison, de démence même ? Et si la folie était le propre de toutes les communautés humaines, tous un peu fou à des doses différentes, et si le réalisme merveilleux était une langue gentille, intellectuelle de surcroit, par laquelle nous revendiquerions notre droit de contourner les sentiers trop froids des régimes de rationalité importés. Voici un peu, mesdames et messieurs, l’adresse que nous a faite Lyonel Trouillot à travers son premier roman « Les fous de Saint-Antoine ».
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