Littérature et peinture (2)

Par Gérald Alexis C’est toujours cette peinture haïtienne dite «naïve» qui fait l’objet du commentaire d’un des personnages du roman d’Anthony Phelps : La contrainte de l’inachevé, 2006, paru chez Leméac.

Gérald Alexis
Par Gérald Alexis
24 juin 2014 | Lecture : 4 min.
Par Gérald Alexis C’est toujours cette peinture haïtienne dite «naïve» qui fait l’objet du commentaire d’un des personnages du roman d’Anthony Phelps : La contrainte de l’inachevé, 2006, paru chez Leméac. Il est évident que le but de l’auteur n’est pas de faire connaître une toile en particulier, un tableau de Buffon Thermidor par exemple, mais de trouver un prétexte pour faire le commentaire suivant: «Les maisons sont très coquettes - Les cornets de glace râpée sont servis dans le plus grand respect des règles d’hygiène : pas de mouches,

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