En me garant devant une pharmacie à Pétion-Ville, je suis abordée par un chaussériste, ou un bétonniste, si vous préférez. Fait habituel, courant, régulier jusqu’à être normal. D’ailleurs si une seule journée se passait sans qu’on soit sollicité par l’un d’eux, il faudrait commencer à s’affoler. En effet, si cette catégorie de citoyens disparaissait de la surface du pays, il y aurait un tel vide qu’on pourrait risquer d’entendre l’écho de tous les sons qu’on émet.
On connaît déjà le langage : "Nous sommes sur le béton-an oui láááá’. Et récem
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