Par Hérold Jean-François
Les élections du 21 mai 2000 ont entré notre pays dans la plus grave crise politique de la transition démocratique après le coup d’État militaire du 30 septembre 1991. Le 21 mai 2000 a été l’expression de la confiscation de la volonté populaire librement exprimée aux urnes au profit d’un secteur politique qui voulait avoir le contrôle de toutes les institutions du pays, en ignorant la sanction populaire et le libre jeu du suffrage universel.
Malgré les dénonciations des partis politiques et des missions d’observation
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