De querelle en querelle, le processus électoral devant déboucher sur les premières lueurs de l’après-Martelly est toujours dans l’impasse. C'est une sorte d'éternel retour! Cette fois, la « surchauffe» est venue de l’immixtion des Américains dans nos querelles à travers les déclarations (pro-gouvernementales) d’un cadre du département d’Etat, Joël Danies. Au-delà des réactions indignées de la classe politique condamnant péremptoirement « l’intrus étoilé», le Sénat a proposé au président Martelly, pour «débloquer» cette situation de paralysie,