Georges Corvington a carburé à la passion de Port-au-Prince. Si certains se sont enivrés au moment d’explorer la peau veloutée de belles femmes, ses doigts, après les heures de bureau au ministère de l’Economie et des Finances, parcouraient des livres, des papiers jaunis qu’il a accumulés toute sa vie sur la capitale, son histoire.
Le nez dans le guidon, à fond dans ses recherches, Georges Corvington, qui ne s’est jamais marié, dans un demi-sourire, confie que « c’est Port-au-Prince son épouse ». En 52 minutes, le dernier documentaire de Arnol
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