Après le départ de Jean-Claude Duvalier (7 février 1986), la justice haïtienne respire un air nouveau. Dans bien des cas, elle évoluait sous le contrôle de l'armée d'Haïti à travers les casernes qui se transformaient souvent en tribunal pour trancher les différends entre les parties. A leur tour, les bureaux du corps des volontaires de la sécurité nationale devenaient souvent des lieux de torture. A ce compte, on n'oubliera pas les nuisances causées à la classe paysanne par les chefs de section, représentants des Forces armées d'Haïti en milieu
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